domingo, 2 de enero de 2011

L'indépendance de la Guyanne française: une tâche clef pour son peuple et ses frères de l'UNASUR et de toute l'Amérique Latine.

Déclaration du Parti Communiste du Venezuela pour l'indépendance de la Guyanne Française
Un texte mis en ligne en octobre 2008 toujours à l'ordre du jour puisqu'en bonne place sur le portail du parti communiste du Vénézuela, allié du gouvernement Chavez, lui-même allié de Téhéran.
Un peu plus loin sur ce portail on distingue un bloc de dix-huit liens vers des pages du parti communiste français.
L'indépendance de la Guyanne française: une tâche clef pour son peuple et ses frères de l'UNASUR et de toute l'Amérique Latine.
Il s'est produit récemment la signature définitive du document constitutif de l'UNASUR. C'est une réalité. En même temps il révèle une autre facette, cette UNASUR n'est pas complète, là se tient la chaise vide de la Guyanne appellée Française, dont l'indépendance comme nation libre d'Amérique du Sud se convertit en tâche clé pour son peuple et pour l'Amérique du Sud.

il existe une lutte pour l'indépendance de cette nation. sur ce thème nous présentons l'article de Faustino Rodríguez Bauza publié antérieurement sur Bellaciao.Org, Tribuna Popular et d'autres pages qui le reproduirent.

COMPLETER L'AMERIQUE DU SUD, PLEINE SOUVERAINETE NATIONALE POUR LA GUYANNE FRANCAISE
Par: Faustino Rodríguez Bauza
La construction d'une Amérique du Sud unie, au sein de l'Union des nations sud-américaines UNASUR, est une étape importante vers l'union de l'Amérique latine, de l'Amérique du Sud, en tant que voix commune dans un monde multipolaire.

Dans deux articles sur la diplomatie et la politique en Amérique du Sud nous avons examiné sa situation, avant la politique bolivarienne du Venezuela du point de vue du pouvoir et dans sa forme actuelle, huit ans après l'ouverture de la seconde période bolivarienne.

L'examen de l'Amérique du Sud a souligné l'absence de pleine souveraineté dans cette région. Une partie reste colonisée.

Beaucoup de personnes ne s'en soucient peut-être guère, mais il se trouve encore une colonie en Amérique du Sud, la dénommée Guyane française, Cayenne pour d'autres sous l'influence de la renommée de ce morceau d'Amérique du Sud dominé depuis l'Europe, acquise grâce au célebre livre Papillon sur le bagne de Cayenne.

Actuellement cette nation, la Guyane française - en mesure de devenir une nation indépendante tout comme les territoires appelés autrefois Guyane britannique aujourd'hui République coopérative du Guyana et Guyane hollandaise aujourd'hui République du Suriname - se trouve sous la domination française.

Des manifestations pour l'indépendance et des mouvements semblables à ceux des années soixante-dix du siècle dernier pour le Guyana et le Suriname, dans le cas de la Guyane française n'ont pas conduit à l'indépendance nationale. En raison peut-être de la faible population, des divisions ethniques, des luttes intestines entre indigènes, Noirs, hindous et la minoritaire caste dominante de blancs français, ajouté a la destination par la France de ce territoire au développement du complexe lanceur de fusées de l'Union européenne.

La Guyane française dispose d'environ 54.000 kilomètres carrés et d'une population qui dépasse déjà le demi-million d'habitants. Elle constitue une réserve écologique importante, où la grande majorité des habitants est indigène. La partie la plus peuplée se trouve sur la côte, où se développent agriculture, pêche, artisanat et petites entreprises de construction maritime.

La France y tient son complexe de lancement de fusées à Kourou en collaboration avec l'Union européenne ce qui a considérablement entravé la lutte pour l'indépendance.

Colonie française depuis l817, après la fin de la Seconde Guerre mondiale en l946 elle dissimule sa condition de colonie sous le statut de Département d'Outremer pour se voir conceder en l974 par la France une plus grande autonomie économique.

La négligence de l'administration centrale française conduisit à la crise économique, comme à des manifestations, protestations et grèves qui se maintiennent tout au long des dernières décennies du XXe siècle. D'oú en l998, la construction d'une route reliant Cayenne au Brésil qui apporta une certaine amélioration de l'économie.

Les luttes, qui impliquent également la Martinique et la Guadeloupe, que mène la population des trois provinces dont deux insulaires des Caraïbes ont eu pour conséquence une plus grande autonomie accordée par la France, avec un gouvernement reconnu comme conseil régional mais toujours dépendant de la Métropole.

Cette situation a empêché ce pays d'Amérique du Sud d'être absent (sic: présent) dans les réunions et la formation de l'UNASUR.

La lutte pour l'indépendance totale est désormais lancée. Elle se manifeste habituellement dans l'exercice d'activités tant internes qu'extérieures, à l'unisson d'autres territoires français en Amérique.

Des manifestations semi-légales se produisent dans plusieurs villes de France, principalement Marseille et d'autres ports. Plus récemment il y a eu des manifestations publiques à Berlin - Paris les interdit - alors que l'activisme intérieur a réussi une union dépassant la diversité ethnique et qu'il se constitue un mouvement pour l'indépendance totale du département, dont l'obstacle majeur reste la présence de la plate-forme spatiale franco-européenne.

L'indépendance de la Guyane française peut et doit devenir un objet de la solidarité du peuple et des gouvernements révolutionnaires et progressistes en Amérique latine.

La partie plus visible de la lutte est menée par un bloc unitaire composé de communistes et d'autres forces progressistes et nationalistes.

L'accomplissement d'actions solidaires de l'indépendance de la Guyane française est important pour réaliser de plus son intégration dans le grand bloc sud-américain de l'UNASUR.

source: Presse Populaire des Communistes de Miranda/L" Republicon
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sábado, 1 de enero de 2011

SALUDO REVOLUCIONARIO PARA EL MUNDO DE LOS CAMARADAS DEL PCPE_BALEARES


PARTIDO COMUNISTA DE ESPAÑA LLAMA A LA MILITANCIA Y EL PUEBLO ESPAÑOL A PREPARARSE PARA LA HUELGA GENERAL Y LOS GRANDES COMBATES DEL AÑO 2.011

José Luis Centella llama a la militancia a prepararse para las luchas que nos esperan en el 2011, entre ellas la Huelga General

Secretaría de Comunicació / 01 enero 01

Este año 2010 que acaba, ha sido un año muy duro y agresivo para la clase trabajadora, con un gobierno que se empeña en una salida antisocial a la crisis que hace a pagar a los más débiles los platos, vasos y resto de la vajilla rota alegremente por la banca y las grandes empresas. En este balance de año José Luis Centella, Secretario General del Partido Comunista de España (PCE), en una carta a la militancia, resalta el trabajo realizado por el Partido para concretar una Alternativa Social Anticapitalista a la crisis, cuyos pilares son la defensa de lo público y de la creación de empleo, junto a un nuevo modelo de desarrollo, que sea sostenible social y medioambientalmente, la intervención pública y la planificación de la economía, con el desarrollo de una democracia económica y social que contemple la participación de los trabajadores y trabajadoras en las organización del trabajo y, sobre todo, en obligar a una justa distribución del beneficio económico,

Centella también destacó el éxito de las movilizaciones en las que ha trabajado este año el PCE, entre las que las que destacan la de la Huelga General y la del 27 de junio, los avances realizados en la apuesta republicana, con la campaña para exigir la transparencia de las cuentas de la Casa Real y la celebración de la Conferencia Republicana que sitúa al Partido a la vanguardia del movimiento, con una propuesta clara, realista y capaz de forjar la unidad en el avance hacia la III República.

En la esfera internacional, destaca la participación del PCE en el debate internacional que se está desarrollando para construir el socialismo en el Siglo XXI, desde el convencimiento que hay que pasar a la ofensiva en el debate ideológico con una movilización social y cultural que frene el intento de implantar en todo el planeta la dictadura del capital.

Una forma de reconocimiento del trabajo realizado por el Partido ha sido darle la responsabilidad de la Vicepresidencia del Partido de la Izquierda Europea, a través de su responsable de Política Internacional, Maite Mola, que permitirá al Partido convertirse en un instrumento útil en la coordinación y acción política para hacer frente a la crisis en el nivel europeo desde postulados anticapitalista.

De cara al nuevo año 2011, “hay que tomar fuerzas y prepararnos para las luchas que nos esperan.” Son tiempo de lucha y movilizaciones: “La propuesta de prolongar la vida laboral hasta los 67 años es una verdadera declaración de guerra que tiene que ser contestada con una Huelga General”

Pero también, explicó Centella, es tiempo de unidad. Y su mensaje fue claro, despejando además dudas electoralistas en un año de elecciones: “la izquierda anticapitalista, republicana y federal del Estado español debe unirse, superando conflictos y divergencias estériles, en torno a un programa, a unas candidaturas, teniendo en cuenta de que no se puede tratar de un “apaño” electoralista, sino de dar forma a un proyecto político, que referencie, desde las municipales y autonómicas del 2011 hasta las generales del 2012, a quienes no nos resignamos a una salida conservadora y antisocial de la crisis. Para ello es imprescindible dar el impulso definitivo al proceso de Refundación.

Fuente: Página del PCE/PrensaPopularSolidaria


Os portugueses não vão desistir de lutar contra a política de direita

A mensagem que acabámos de ouvir foi uma mensagem de propaganda do Governo em que o Primeiro-ministro volta a tentar alijar responsabilidades da situação em que o país se encontra.

O Primeiro-ministro quer escudando-se na crise internacional, quer invocando as situações difíceis de outros povos, quer ainda referindo-se aos ataques dos especuladores financeiros, a que chama “crise de confiança dos mercados internacionais”, perante os quais tem tido uma posição de total capitulação.

A poucos dias de se iniciar a aplicação do Orçamento do estado para 2011 - com o corte de salários,o corte de prestações como o subsídio de desemprego, o subsídio social de desemprego ou o abono de família, com o congelamento das pensões, mesmo das mais baixas, com o aumento generalizado do custo de vida, através do aumento do IVA do preço dos combustíves e da electricidade e de outros bens essenciais - o primeiro-ministro insiste em dizer que este é o único caminho, quando na verdade é apenas a continuação de uma política de favorecimento dos mais ricos e poderosos perante o aumento das desigualdades e o afundamento económico do país.

Nesta mensagem não houve uma palavra para o desemprego, que afecta tantas famílias portuguesas e que vai continuar a aumentar no próximo ano, fruto em boa parte da política económica seguida. Mas o primeiro-ministro referiu-se ainda, com hipocrisia, ao que chamou entendimento para o aumento do salário mínimo, que na realidade não é mais do que um adiamento do salário mínimo de 500 euros já a 1 de Janeiro como estava acordado desde 2006, um verdadeiro roubo de 15 euros aos trabalhadores com as mais baixas remunerações, pactuado entre o governo, as organizações patronais e a UGT.

Um roubo que é feito ao mesmo tempo que se permite a não tributação dos dividendos distribuídos pela PT e por outras grandes empresas, ou a manutenção de uma baixa taxa de imposto efectivamente cobrado à banca.

O primeiro-ministro pede que os portugueses não desistam. Nós apelamos a que os portugueses não desistam de facto, mas de lutar contra esta política e contra as medidas que são a causa do agravamento da situação económica e social do país.

Fuente: Avante/PrensaPopularSolidaria


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viernes, 31 de diciembre de 2010

STALIN Y EL PARTIDO COMUNISTA RUSO HOY

Por G.A.Ziuganov


“… La composición del gobierno viene determinada y sus acciones controladas por las grandes corporaciones financieras. Todo el mundo sabe, que no hay ningún país capitalista donde se pueda formar gobierno contra la voluntad de los peces gordos, representantes de los grupos de presión económica: les basta con un poco de presión financiera y los ministros salen zumbando. Este es el control real de los bancos sobre los gobiernos, frente al control aparente de los parlamentos”.

“Mientras están en campaña electoral los diputados juegan con los electores, les hacen carantoñas, les juran fidelidad, les hacen un montón de promesas… una vez que han pasado las elecciones y los candidatos ya son diputados, las relaciones cambian de raíz…Hasta la nueva convocatoria de elecciones, el diputado se siente completamente libre, independiente del pueblo, de sus electores. Se puede convertir en un tránsfuga, puede pasar del camino correcto al incorrecto, puede tomar parte en todo tipo de maquinaciones innecesarias, puede dar todas las volteretas que quiera, porque es independiente ¿Podemos considerar estas relaciones normales? En ningún caso camaradas .”

En las anteriores palabras de Stalin se desnuda la esencia de la supuesta democracia capitalista, en la que la representación oculta la separación del poder del pueblo, la cesion de la responsabilidad politica de manos del soberano, el ciudadano, el productor, a manos de un diputado que durante una legislatura hace lo que quiere, es libre de venderse al mejor postor, un privilegiado que conforma una élite alejada de los intereses de los electores.

La prostitución de las democracias capitalistas es la cobertura perfecta para encubrir la dictadura del capital, que de una forma u otra siempre acaba imponiendo los intereses de los grandes magnates y corporaciones sobre los de los trabajadores.

El siguiente artículo, donde se citan las palabras de Stalin, escrito hace un año con motivo del 50 aniversario de la muerte de Stalin por G.A. Ziuganov, del Partido Comunista de la Federación Rusa, sirve perfectamente para ilustrar el significado del lider soviético para Rusia, las exRepúblicas Soviéticas y para los trabajadores de todo el mundo en el dia que se conmemora su nacimiento, 21 de diciembre de 1879.

Stalin. Este nombre está fuertemente unido a la historia de nuestro país. Un nombre que en gran medida representa en si mismo todo el siglo XX; el más dinámico, convulso, creador y destructivo de la historia de la humanidad. Un siglo durante el cual la civilización subió de golpe varios escalones. De la energía de vapor a la nuclear. De los rayos solares a los láser. Del transporte tirado por animales a los aviones supersónicos y las naves espaciales. De la primitiva carabina a la bomba de neutrones. Del correo a caballo a la televisión e Internet. Y al mismo tiempo, de las guerras donde morían decenas de miles de combatientes, a los conflictos mundiales, donde perdieron la vida millones de personas.

En el crisol del siglo XX, en sus continuos cambios y transformaciones, en sus crisis y despegues, en los cada vez más graves conflictos sociales y revoluciones, en las 2 guerras mundiales y la epopeya cósmica, se forjó el nuevo hombre, que ha entrado en el tercer milenio.

Y en todos estos asuntos, en todos estos giros de la historia, Stalin y su memoria han tenido un papel relevante.

La época de Stalin.

Con Stalin identificamos las más trágicas y grandes páginas de nuestra historia. La revolución y la ruina provocada por la guerra civil y la intervención imperialista. La presión del cerco capitalista y la amenaza constante de una nueva invasión. El combate a muerte con el fascismo, que se llevó por delante la vida de 27 millones de ciudadanos soviéticos y las inimaginables dificultades para levantar la economía. La posterior guerra fría y otras muchas cosas; todo esto dejó sin duda su huella en el destino y en la imagen de nuestro país, en el carácter de su pueblo. Sentó las bases de la firmeza y a menudo de la crueldad del aparato estatal, de sus variaciones en el terreno ideológico y político.

Por todo esto, el que busque respuestas simples y unidireccionales en el análisis de la época de Stalin, está condenado a equivocarse. En el estudio de la figura de Stalin solo es valida la aplicación del método dialéctico.

Hay fundamentos para asegurar, que la personalidad de Stalin es equiparable a las más grandes figuras del Renacimiento, una época que al igual que el siglo pasado, supuso la irrupción de la humanidad en una nueva espiral del desarrollo histórico.

De pies a cabeza, fue un hombre de su tiempo. Stalin reunía todos sus rasgos diferenciadores: Una irrefrenable aspiración de avanzar y el lastre del pasado. Un alto humanismo y la capacidad de no apreciar a las personas, a cambio del éxito en lo principal. Un sincero desinterés por lo material y un impetuoso encantamiento por el poder, que a veces le anulaba los demás sentidos. La prudencia y el cuidado en muchos temas y las decisiones repentinas, irreflexivas, que afectaban al destino de millones de personas, y que luego tocaba corregir larga y dolorosamente. Todo esto es Stalin.

Creador de una superpotencia.

Los resultados de la obra de Stalin son de todos conocidos. En los primeros años del primer plan quinquenal, por ejemplo, fue duplicado el potencial industrial de nuestro país. La industria pesada pasó a ocupar el primer lugar. A la órbita del proceso productivo fueron atraídas las regiones más lejanas y atrasadas. Crecieron una multitud de nuevas ciudades y cetros industriales. Los viejos centros sufrieron transformaciones radicales. A finales ya de los años treinta, se estaban construyendo en el país más de 6000 nuevas empresas. En 1937, los nuevos centros industriales suponían más del 80% de toda la producción industrial. A comienzos del tercer plan quinquenal, la industria comenzó a ser rentable.

Como resultado de la industrialización, comenzó a transformarse radicalmente la cultura del trabajo de millones de personas.

A mediados del primer quinquenio se acabó con el desempleo. A comienzos de los años 40 el 80% de la población estaba alfabetizada. Cientos de miles de jóvenes, salidas de la clase obrera y campesina, pasaron por los institutos y centros de formación profesional. Apareció una nueva intelectualidad.

A pesar de todas las dificultades que acarreó la colectivización agraria, resurgió y se alzó el campesinado ruso. Solo durante los años del segundo quinquenio, los Koljoses recibieron más de 500.000 tractores, alrededor de 124.000 cosechadoras y más de 140.000 camiones. Solo en el periodo de 1928 a 1932, cinco millones de campesinos dominaron el uso de la maquinaria agrícola. La gente del campo descubrió por primera vez lo que era el tiempo libre. Lo que significaba la posibilidad de estudiar, aumentar su nivel cultural, dedicarse a temas sociales.

A mediados de los años 30 el aumento del salario pasó a ser algo habitual.

El sistema de racionamiento pasó a ser un recuerdo del pasado. La creciente de manda de la gente en productos de alimentación era cada vez mejor satisfecha. Los logros de la cultura se pusieron al alcance de todos. Se crearon miles de bibliotecas, se construyeron nuevos teatros, se abrieron museos.


La Constitución de la URSS poniendo broche de oro a este proceso creador, por primera vez en la historia, proclamó un completo sistema de nuevos derechos socialistas: derecho al trabajo, al descanso, a la educación superior, a la jubilación. Nunca en ningún lugar un documento había proclamado derechos parecidos.

Todos estos jalones del desarrollo social de la época soviética producen en nuestros días una honda impresión. Los acontecimientos del pasado aparecen hoy como ejemplos claros, como faros del futuro, de un futuro por el que luchamos hoy los comunistas en Rusia.

Estos hechos nos enseñan a ser responsables. Tanto los comunistas como todas las fuerzas auténticamente democráticas rusas, están obligados a aceptar su responsabilidad por el destino del país.

El PCFR ya hace tiempo que declaró que asume su responsabilidad por el pasado, presente y futuro de nuestro gran país. Como decía Stalin: “Puesto que hemos llegado al poder y hemos asumido la tarea de transformar el país, sobre la base del socialismo, respondemos y debemos responder por todo, por lo malo y por lo bueno”.

Los comunistas rusos asumimos esta responsabilidad.

Y ante todo la responsabilidad y el reto de la restauración del sistema socialista en nuestro país. La restauración de la Unión Soviética. La recuperación de una vida digna para todos y cada uno. Por la recuperación del país en base a los principios de justicia, poder popular, legalidad y orden.

Es aquí donde la experiencia de la época de Stalin nos enseña mucho, de lo que debemos hacer precisamente los comunistas para la consecución de estos grandes objetivos.

La herencia de Stalin

Como es lógico, a Stalin, como a cualquier otro personaje histórico no se le puede imitar. Stalin y su tiempo son irrepetibles. Es peligroso y perjudicial intentar simplemente copiar sus actuaciones. Es impensable adaptar mecánicamente las propuestas de Stalin y aplicarlas a la realidad de la vida contemporánea. Ha pasado mucho tiempo. El mundo es otro. Nuestro país tiene ahora que hacer frente en este cambio de milenio, a problemas desconocidos antes.

Hacer uso de la herencia de Stalin significa hoy no seguir ciegamente letra a letra el contenido de sus trabajos, el orden de sus actuaciones, sino comprender y utilizar aquella metodología, de la que el mismo se valía para acercarse a la experiencia de sus antecesores.

“No podemos exigir de los clásicos del marxismo, separados de nuestro tiempo en 45-55 años, que previesen todos y cada uno de los devaneos de la historia en cada país concreto y en un futuro lejano. Sería ridículo exigirles que desarrollasen para nosotros soluciones prefabricadas para hacer frente a cualquier problema teórico que pudiese aparecer en un país determinado dentro de 50-100 años, para poder permitirnos a los seguidores de esos mismos clásicos del marxismo, poder descansar tranquilos y masticar soluciones mágicas. Pero lo que si podemos y debemos exigir de los marxistas-leninistas de nuestro tiempo, es que aprendan a interpretar la experiencia de los clásicos, a concretar sus fundamentos básicos, desarrollarlos y mejorarlos”.

Es así como lo veía Stalin. Es así como nosotros medio siglo después de su desaparición, no solo podemos, sino debemos actuar.

Escoger lo mejor de su experiencia, significa ser un abnegado patriota, un patriota práctico, defensor de las tradiciones populares, creador de lo nuevo y más necesario para nuestro país.

A Stalin le definía su entrega a la causa de la revolución y del socialismo. Todo su empeño estaba puesto en la construcción del estado soviético. Destacó por su firmeza en la defensa de los intereses nacionales en la arena internacional, por su talento militar. Poseía una voluntad de acero y una decisión inquebrantable de ver cumplidos sus objetivos, para lo que no dudaba en someter a todos sin compasión.

Stalin infundía el entusiasmo en los que le rodeaban, el deseo ardiente de avanzar, de superar todas las dificultades, de vencer. Se distinguía por su sentido de la disciplina, y la clara comprensión de su responsabilidad personal.

No es casualidad que Lenin lo tuviese en tan alta estima. A menudo para ocupar puestos de responsabilidad no veía capaz a ningún otro candidato “aparte del camarada Stalin”. Un ejemplo lo encontramos cuando se discutía sobre el Comisariado Popular de las Nacionalidades, y cuando se creó el “RABKRIN” (Inspección obrera y campesina): “Es una tarea gigantesca-señalaba Lenin-para saber como afrontarla, al frente debe haber una persona con autoridad, de otro modo fracasaremos, enfangados en pequeñas intrigas”.

Fue precisamente a propuesta de Lenin, que Stalin asumiese la secretaría general del CC del partido bolchevique en 1922.

La prueba del poder

Seguir el ejemplo de Stalin significa ante todo comprender su época, la esencia de las fuerzas sociales y políticas que interactuaban, la naturaleza del poder.

Es así como actuamos los comunistas de hoy, de la Rusia actual, cuando le decimos al pueblo que los órganos democrático- burgueses de poder creados en la última década no son sino un decorado, encargados de ocultar el férreo régimen autoritario que se ha impuesto en el país. Cuando les explicamos, que a Rusia en la nueva distribución de fuerzas mundial, se le ha asignado el papel de donante de materias primas, con las que mantener el bienestar de esa pequeña parte de la población de la Tierra, de ese “anillo dorado” habitado por mil millones de personas, de los países desarrollados, que encabezan los EE.UU y sus aliados de la OTAN.

Consideramos que al actual gobierno ruso, le es perfectamente aplicable la definición de gobiernos burgueses dada por Stalin: “… La composición del gobierno viene determinada y sus acciones controladas por las grandes corporaciones financieras. Todo el mundo sabe, que no hay ningún país capitalista donde se pueda formar gobierno contra la voluntad de los peces gordos, representantes de los grupos de presión económica: les basta con un poco de presión financiera y los ministros salen zumbando. Este es el control real de los bancos sobre los gobiernos, frente al control aparente de los parlamentos”. ¿Acaso no es este el retrato fiel de todos los gabinetes de ministros de la era de Yeltsin y Putin?

Por desgracia a la par de gobiernos como esos, podemos poner al parlamento ruso (Duma), que en su aspecto actual compone un todo orgánico con el gabinete de ministros. Solo podemos darle la razón a Stalin cuando escribía: “La Duma es un parlamento bastardo. De palabra podrá tener un peso decisivo, pero en realidad no es sino un órgano consultivo…” Es precisamente ese tipo de Duma el que el actual gobierno ruso pretende moldear, durante toda la etapa postsoviética. Es precisamente a esta degeneración de parlamentarismo, a la que tozudamente nos oponemos.

Vemos una de nuestras tareas en hacer todo lo posible para convertir el parlamento en un órgano de resistencia al actual régimen antipopular.

Especial importancia en relación con esto tiene la elección de candidatos a diputados. La asunción de una responsabilidad real del diputado ante sus electores. El derecho de los ciudadanos a poder revocar a los parlamentarios que no cumplan sus promesas y el mandato de los electores.

Pensamos que es imprescindible luchar contra ese tipo de legislador, a los que furiosamente criticaba Stalin y que en nuestros días ya han tenido tiempo de provocar el desprecio del pueblo. Stalin decía: “Mientras están en campaña electoral los diputados juegan con los electores, les hacen carantoñas, les juran fidelidad, les hacen un montón de promesas… una vez que han pasado las elecciones y los candidatos ya son diputados, las relaciones cambian de raíz…Hasta la nueva convocatoria de elecciones, el diputado se siente completamente libre, independiente del pueblo, de sus electores. Se puede convertir en un tránsfuga, puede pasar del camino correcto al incorrecto, puede tomar parte en todo tipo de maquinaciones innecesarias, puede dar todas las volteretas que quiera, porque es independiente ¿Podemos considerar estas relaciones normales? En ningún caso camaradas.” Como nos resulta esto familiar, a los que ejercemos como firme oposición a la actual élite del partido del poder.

De esta variedad de enfermedad parlamentaria, se contagian algunos de nuestros camaradas. Algunos de ellos no han soportado la presión que ejercen los poderosos. No resistieron la tentación de una vida tranquila y cubierta en un país moribundo y arruinado y se pasaron el bando de los destructores. En situaciones parecidas intentamos hacerles ver la realidad, explicándoles, criticándoles. A algunos los tuvimos que expulsar del Partido y de nuestro grupo parlamentario.


Seamos realistas: Este tipo de comunista “laqueado” como los denominaba Stalin, seguirá apareciendo en nuestras filas. Tenía razón cuando aseguraba: “Aquí en Rusia también está teniendo lugar el proceso de decadencia de cierto tipo de literato y antiguo”jefe”. El proceso de agudiza en los periodos de crisis revolucionarias, y se ralentiza en los momentos de reunión de fuerzas, pero es algo que se ha dado siempre.”

Hoy la sociedad rusa se encamina hacia una nueva etapa de agudización de la crisis. Y tenemos que estar preparados para ver todos estos fenómenos y pérdidas, para asistir a cambios radicales en la vida del país.

Gente como esa una vez si y otra también, van a “refunfuñar, eludiendo la autocrítica. De nuevo esa maldita autocrítica, ese sacar afuera nuestros defectos. ¿Acaso no podemos vivir tranquilos?”
No, ni ellos pueden, ni nosotros podemos tener una vida tranquila.

El Partido debe luchar por cada comunista, por cada parlamentario, impidiendo que se dejen recubrir por ese barniz del que hablaba Stalin.

Haremos todo lo posible para no permitir en nuestras filas el espíritu del trotskismo, o lo que es lo mismo, los intentos de determinados activistas engreídos, que se sienten superiores, “superhombres, por encima del CC, de sus leyes, de sus decisiones, dando de este modo la excusa a determinada parte del partido de hacer un trabajo de desgaste que haga perder la confianza en ese mismo CC”. Este es el trabajo que están haciendo, con la bendición de las altas esferas del Kremlin, y cada vez más activamente. El poder hará todo lo que esté en su mano para crear, en el lenguaje de Stalin, una situación, “cuando un grupo de miembros del partido espera a lo órganos centrales del partido en un callejón, para sacar partido de las dificultades, para luego aparecer de repente de una esquina, tendernos una emboscada y golpearnos en la cabeza”.

No se le puede negar a Yosif Vissarionovich el talento para describir gráficamente una situación y caracterizar las acciones del contrario.

Los comunistas rusos harán todo lo posible para no llegar a situaciones como las descritas. Ya hemos aprendido desde las primeras etapas a reconocer los síntomas de semejante “enfermedad” y adoptar las medidas necesarias.

El legado político de Stalin

En adelante al partido, como a todo el país, le esperan las más serias pruebas. El PCFR esta preparado para la lucha por el poder. Contamos con todo lo necesario para esta tarea: cuadros, ideología, programa de acción, estructuras organizativas. Al mismo tiempo los comunistas rusos estamos lejos del “juego por la toma de poder” que criticaba Stalin, polemizando con Trotsky. El PCFR se enfrenta a la lucha por el poder, como se enfrenta al trabajo diario, dándose perfecta cuenta de las etapas y los métodos de lucha, de sus objetivos finales.

Y en este punto estamos obligados a dirigir nuestra atención sobre lo que se puede considerar legado político de Stalin.

En primer lugar, hablamos de la obligación de los comunistas de encabezar la lucha por la democracia. Nadie excepto nosotros lo va a hacer. Nadie está capacitado. “Antes la burguesía se permitía jugar a los liberales, defendía las libertades democrático-burguesas y se creaba popularidad en el pueblo, - decía Stalin.- Ahora del liberalismo no ha quedado ni huella… ha sido pisoteado el principio de igualdad de la gente y de las naciones… la bandera de las libertades democrático-burguesas ha sido arrojada por la borda. Pienso que esa bandera os tocará recogerla a vosotros, representantes de los partidos comunistas y democráticos, llevarla hacia delante, agrupando a su alrededor a la mayoría del pueblo…”

En segundo lugar está la defensa de los intereses de estado y nacionales de Rusia, la misión nacional-libertadora de los comunistas.

Antes la burguesía se consideraba la cabeza de la nación, defendían los derechos y de independencia de la nación, situándolos “por encima de todo”, -subrayaba él- ahora la burguesía vende los derechos y la independencia de la nación por dólares. La bandera de la independencia nacional y de la soberanía nacional ha sido arrojada por la borda. No cabe duda, de que esta bandera la habréis de levantar vosotros, representantes de los partidos comunistas y democráticos y llevarla hacia delante, si queréis ser patriotas de vuestro país si queréis ser la fuerza dirigente de la nación. Nadie más la levantará.

Unificar la lucha por la auténtica democracia y el poder popular con la idea nacional, con las tradiciones populares, con la lucha nacional libertadora esta es la tarea que nos dejó a los otros los comunistas Stalin. Y esta es la tarea que tratamos hoy de decidir, situándonos a la vanguardia del más amplio movimiento patriótico, del único capaz de salvar a Rusia en esta hora de prueba mortal.

A los comunistas nos toca actuar en condiciones extremadamente complicadas. Los “coloretes” que de las libertades democráticas con el que se había maquillado el partido del poder, en su camino hacia la dirección del estado, hace tiempo que se ha borrado y ha desaparecido. Ya no lo necesitan. Ha pasado a ser un obstáculo irritante. Un año más la sociedad rusa se balancea en la resbaladiza frontera de su caída definitiva en al autoritarismo, en ese estado, que hemos dado en llamar fascismo liberal.

Los intentos de aplastar o domesticar a la oposición, se suceden uno tras otro. La inventiva de los maestros del Kremlin en cuanto a provocaciones e intrigas rupturistas en las filas del PCFR, no conoce límites. Les envidiarían los más destacados intrigantes de épocas lejanas y no tan lejanas.

Y a pesar de todo el PCFR se afianza hoy como líder político y moral de la sociedad rusa. Se desarrolla el proceso del que hablaba Stalin, con su particular inclinación a trazar paralelismos históricos:” si antiguamente al cristianismo se le consideraba la tabla de salvación entre los esclavos oprimidos y explotados del vasto imperio romano, hoy todo parece indicar, que el socialismo puede servir (y ya ha comenzado a hacerlo) como bandera de liberación de las masas de multitud de estados coloniales del imperialismo”.

Rusia se ha convertido hoy en una colonia de la que extraer materias primas, para la que la perspectiva socialista, representa la única estrella guía hacia la salvación. Nuestro país ha sido y lo continúa siendo, la esperanza de los pueblos, contra los que la maquinaria de guerra americana y los actuales globalistas están prestos para desencadenar nuevas aventuras bélicas.

Los cuadros de nuevo deciden todo.

En el PCFR está entrando gente de lo más diversa. Hay jóvenes, científicos, representantes de la “clase media”, gente en la edad más activa. Nos rejuvenecemos, fortalecemos, renovamos.

Aprender a trabajar políticamente con los nuevos partidarios, atraerlos, oír su voz, es una de nuestras principales tareas. El partido debe ser para ellos, no solo el portador de las ideas justas. Estamos obligados a resultar atractivos para los que nos rodean. Necesitamos acercar a nuestras filas a la mayor cantidad posible de gente, no solo atraídas por motivaciones ideológicas elevadas, sino por la simple curiosidad vital.

Stalin explicaba: “en esta curiosidad del pueblo se encierra uno de los principales peligros para el poder: el curioso de hoy, mañana como manifestante reunirá a su alrededor a nuevos grupos de curiosos”

Hoy encontramos decenas de miles de curiosos en cada ciudad importante: Los comunistas deben aprender a estar juntos y unidos con la gente en cada asunto, por nimio que parezca. Tenemos que ser uno de los suyos para esa decisiva mayoría de la nación.

Solo así podremos hacer frente con la eficacia debida, a todo ese río de mentiras y descalificaciones que vomitan los medios de comunicación en nuestra dirección, a ese silencio sepulcral con el que dan cobertura a nuestras actividades y propuestas, en los principales medios, afectos al régimen.

Como es lógico no vamos a lograr todo esto de golpe. Son inevitables las equivocaciones, las derrotas y los errores de cálculo. Nuestros predecesores no se amilanaban ante las dificultades. “Estudiar, apretando los dientes, sin temor de que nuestros enemigos se ría de nosotros, de nuestra ignorancia, de nuestro retraso”. Otro consejo más de Stalin, que cogemos como munición.
Lo principal aquí no temer el descubrir y dejar a la luz nuestras debilidades. Apoyarse en la gente, “organizar valiéndonos de la crítica y la autocrítica de nuestras carencias, una amplia opinión pública del partido, de la clase obrera, un control moral alerta y vivo, cuya voz deberán acatar los responsables, si quieren seguir contando con la confianza del partido y la clase obrera”. Este consejo de Stalin es plenamente actual para nosotros. Especialmente en lo tocante a la política de cuadros.

Incluso la victoria en las elecciones y la creación de un gobierno que defendiese los intereses nacionales, no significaría que en la práctica habríamos tomado el poder, si ese poder no se encuentra respaldado por cuadros bien preparados. Por unos cuadros capaces de darlo todo por Rusia. Nosotros con nuestros predecesores, debemos decir: Los cuadros deciden y decidirán todo.

“Necesitamos… especialistas en el metal, en la industria textil, en el sector energético, químico, agrícola, en el transporte, en el comercio, la contabilidad etc, etc. Necesitamos ahora grupos enteros, cientos, miles de nuevos cuadros, capaces de ser la cabeza visible en todos los campos del conocimiento. Sin esto no tiene sentido hablar de los tiempos de desarrollo de la construcción socialista de nuestro país.”

Debemos abordar sin demora la resolución de este problema, para que no nos coja de sorpresa en el futuro. Tanto más ahora que la campaña electoral nos ofrece la posibilidad de darnos a conocer ante un amplio círculo de personas.

En el filo de la política nacional

Y por supuesto la cuestión nacional, cuya alma es y será el problema ruso. Pues “…la cuestión nacional en épocas diferentes sirve a intereses distintos, y adquiere distintas particularidades, dependiendo de cual sea la clase social y el momento en que la aborde.” En la Rusia actual el pueblo ruso no es solamente el pueblo conformador del estado. Es precisamente él, en su mayoría un pueblo proletario, compuesto por la clase trabajadora, la más expuesta a la explotación y humillación. Como defensor de las clases trabajadoras el PCFR, no puede no defender sus intereses como punta de lanza de su actividad.

El problema de las interrelaciones de Stalin con el pueblo ruso siempre fue clave en su herencia.

Es muy conocido el brindis que pronunció “¡por el pueblo ruso!” tras la victoria sobre la Alemania fascista. Si embargo representó la cima, y la culminación de una de las etapas, en el arduo y largo trabajo de Stalin por el resurgimiento del pueblo ruso como núcleo del estado Soviético. Este fue un trabajo muy complicado.


También podríamos traer a colación otro brindis, que recuerdan los testigos, pero que han olvidado los historiadores y publicistas, pronunciado en junio de 1933: “Brindemos por la nación soviética, por el maravilloso pueblo ruso”. Para decir esto en aquella época cuando en las influyentes esferas de la sociedad soviética se continuaba interpretando los conceptos “patria”, “patriotismo” como resto del “mundo de los fantasmas prerrevolucionarios del pasado”, se requería una gran valentía y perspicacia.


Stalin fue consecutivamente rompiendo las capas de rusofobia, que se habían formado, no solamente después de Octubre, sino en los dos siglos precedentes.

E hizo esto con el simbolismo que le caracterizaba. “En cierta ocasión dije a Lenin que el pueblo ruso era el mejor, el más soviético.”


Él no ocultaba el objetivo político de su trabajo. “En el pasado el pueblo ruso coleccionaba pueblos. Ahora también los ha comenzado a reunir”.


Creo que en más de una ocasión, en los tiempos duros, la gente sencilla de la destruida URSS se habrá acordado del “hermano mayor” ruso, ridiculizado, expulsado, insultado. De ese hermano, que de acuerdo con la política de la época de Stalin, utilizaba su posición de ventaja en la familia de las republicas soviéticas hermanas, iguales,… ante todo para ayudar a levantarse, a encaminar su desarrollo, a aquellos pueblos que más habían sufrido el yugo zarista, y que habían quedado más retrasados en el desarrollo económico y cultural. ¿Acaso ha caído en el olvido la predestinación histórica de los rusos? No lo creo. El estado unificado, creado por Stalin, resurgirá. Y renacerá entorno a la nación rusa.


Ese momento ha llegado. Y nosotros comunistas de Rusia, decimos abiertamente: no será feliz, igual en derechos, el pueblo ruso. No habrá justicia ni igualdad ni felicidad para ninguno de los pueblos de Rusia. El renacimiento del espíritu ruso en la política estatal, es mérito histórico de Stalin.

Yosif Visarionovich Stalin entregó sin reservas a nuestro estado todo su enorme talento, su energía inagotable, su gigantesca fuerza de voluntad. Bajo su mando el país de los Soviets se convirtió en una potencia mundial. Logró una gran victoria. Stalin creía en nuestro pueblo. Y el pueblo creía en él. Estuvo dispuesto a realizar un trabajo creador y sacrificado en aras de un futuro feliz. Con Stalin nuestra gente sintió su fuerza, creyeron en sus posibilidades, demostraron una capacidad única de alcanzar los más altos objetivos, con un paso victorioso. Nosotros podemos y debemos servirnos de su herencia, aplicarla a nuestros días y a nuestras tareas actuales.

Fuente: Un Vallekano en Rumania/PrensaPopularSolidaria
http://prensapopular-comunistasmiranda.blogspot.com/
Correo: pcvmirandasrp@gmail.com

Juventud Comunista

Este AÑO se celebro el 63 Aniversario Juventud Comunista de Venezuela

21 diciembre, 2010 rojosdelrojo Deja un comentario

Caracas, 16 sep. 2010, Prensa JCV – El 16 de septiembre de 1947, en su Primer Congreso Nacional Constitutivo, nace a la vida política de Venezuela, el destacamento juvenil comunista como parte de la resolución de la Conferencia Nacional del Partido Comunista de Venezuela (PCV) realizada en abril del mismo año, como una necesidad de unir y organizar la lucha de los jóvenes venezolanos por la democracia y el Socialismo.
PCV decide formar la JCV y organiza su Primer Congreso Constitutivo
El 3 y 4 de abril de 1947 una Conferencia de jóvenes del PCV discute sobre la necesidad de crear en Venezuela una organización juvenil propia de los comunistas. Este esfuerzo culmina exitosamente el 16 de septiembre de 1947 con el Congreso Constitutivo de la JUVENTUD COMUNISTA DE VENEZUELA. Dos años antes había sido derrocado el gobierno del General Isaías Medina Angarita, en un Golpe de Estado dirigido por AD y los militares de derecha de Pérez Jiménez, y con el visto bueno del Pentágono.
Reinaba en el país un clima de anticomunismo y en la primera marcha del I Congreso de la JCV la policía reprime y arresta a buena parte de los delegados al Congreso, obligando a éstos a continuar las sesiones en los calabozos de la prisión. Este es el bautizo de fuego de la JCV…
La dictadura de Pérez Jiménez
Al año siguiente, el 24 de noviembre de 1948 los antiguos militares aliados de Rómulo Betancourt, derrocan el gobierno recién electo del escritor Rómulo Gallegos, e instauran una terrible dictadura que durará 10 años. La JCV con apenas un año de vida ya debía afrontar los duros caminos de la lucha clandestina.
En 1952 la dictadura organiza la asamblea general de la OEA que da el visto bueno al derrocamiento del gobierno popular de Jacobo Arbenz en Guatemala, los militantes de la JCV organizan por todo el país demostraciones de repudio contra la agresión imperial a Guatemala y de rechazo a la dictadura de Pérez Jiménez.
II Congreso de la JCV en clandestinidad
En mayo de 1953 la JCV, en la más dura clandestinidad, reúne su II Congreso, en donde determina la urgencia de unir a las organizaciones juveniles de masas en contra de la dictadura, de este esfuerzo surgirá el “Primer Festival Nacional de la Juventud Venezolana” que moviliza a más de 30.000 muchachos y muchachas de todo el país.
La crueldad de la dictadura destruye todo signo de resistencia, sólo el PCV y la Juventud Comunista combaten organizada y heroicamente los ataques de la dictadura pro-imperialista. Ya la joven JCV paga con sangre su arrojo y valentía revolucionaria: Cecilio Pérez, miembro del CC de la JCV es sacado por la Seguridad Nacional de su casa, asesinado y desaparecido su cuerpo; Luis Lozada también del CC es torturado hasta partir su columna vertebral y luego asesinado por los esbirros de la dictadura en una cárcel en el Zulia.
Formación de la Junta Patriótica para derrocar la dictadura
Los comunistas comprenden que sólo la amplia unidad de todos los adversarios de la dictadura lograría derrotar a ésta y de allí surge la Junta Patriótica, como ente coordinador de la lucha popular contra el dictador Pérez Jiménez. Ya el 21 de noviembre de 1957 estalla la rebelión estudiantil contra la dictadura (de allí surge el día del estudiante en Venezuela), y como siempre son los aguerridos militantes de la Juventud Comunista quienes a la vanguardia con algunas bombas Molotov, piedras y barricadas, desafían a la policía de la dictadura. Estas jornadas culminarán el 23 de enero de 1958 cuando el pueblo unido a las fuerzas armadas derrocan a la dictadura; nuevamente; los jóvenes comunistas están en la primera línea asaltando los cuarteles de la Seguridad Nacional (policía de la dictadura) liberando a los presos políticos; dirigiendo el tráfico en Caracas o vigilando las calles de la Ciudad ante la huida de la policía.
“Caracas la Roja” Estas jornadas elevan el prestigio del PCV ante el pueblo. La Juventud Comunista, que en 1958 tenía aproximadamente 500 militantes, ya en 1960 agruparía a 30.000 jóvenes, son los días que el pueblo de la capital bautiza a su ciudad como “Caracas la Roja”. En abril de 1959 la JCV celebra su I Conferencia Nacional, reafirmando la necesidad de profundizar las conquistas populares del 23 de enero.
Se inicia la dictadura puntofijista, con el signo de la traición

Meses antes, diciembre de 1958, gana las elecciones Rómulo Betancourt e inmediatamente éste traiciona las aspiraciones populares, se alía a los intereses imperialistas, promulga medidas contra los trabajadores, ametralla las manifestaciones de obreros desempleados y comienza una feroz campaña de agresión a los comunistas. A su vez la JCV se coloca al lado del pueblo en las manifestaciones de calle, en la huelgas y exigiendo las restitución de las garantías constitucionales que el gobierno suspendió para facilitar la represión.
Las primeras acciones militares de la JCV
Ante esto, en 1961 militantes de la JCV (los luego celebres “aguiluchos”), secuestran en pleno vuelo un avión comercial y lanzan panfletos contra la represión del gobierno adeco, aterrizando luego en Curazao siendo arrestados y entregados a Betancourt, esta acción fue la primera en su tipo que registra la historia de la aviación en el mundo.
Ya en 1962, el 4 de mayo y el 2 de junio, se sublevan las bases navales de Carúpano y Puerto Cabello, aquí los militares revolucionarios se colocan al lado del pueblo trabajador agredido por las medidas antipopulares del Gobierno de Betancourt; en Puerto Cabello por 3 días los marinos junto a la población resisten los ataques del gobierno pro yanqui, aquí los valientes militantes de la JCV con las armas en la mano resisten en las calles de Puerto Cabello a los tanques, cañones y aviones que envía el gobierno contra la rebelde ciudad, merece la pena mencionar la heroica defensa del liceo Miguel Peña por parte de la JCV de esa institución quienes por dos días combatieron contra los tanques que asaltaban su liceo.
La lucha armada y la guerra revolucionaria
En polémica decisión el PCV se lanza a la lucha armada, a pesar de la derrota y los desaciertos cometidos, los jóvenes comunistas venezolanos, consideramos este periodo como una de las más gloriosas gestas vividas por la juventud venezolana en los últimos tiempos, equiparables sólo con la independencia. En junio de 1963 la II Conferencia Nacional de la JCV ratifica la decisión de ir a la guerra revolucionaria y así miles de muchachos y muchachas de la JCV se incorporan a los destacamentos guerrilleros urbanos y rurales de las Fuerzas Armadas de Liberación Nacional (FALN). Se combate en los barrios de Caracas y otras ciudades, se combate en las montañas de Falcón, Lara, Portuguesa, Miranda, en los cerros de oriente. Muchos jóvenes “valientes hasta la locura” y “dispuestos a tomar el cielo por asalto”, parafraseando a Marx, combatieron y murieron en esta desigual pero noble lucha que poco ha sido recogida por la historia burguesa.
Acciones contra representantes yanqui y solidaridad con el pueblo de Vietnam
En ese tiempo miembros de la JCV en Caracas detienen al embajador yanqui Moscoso en las puertas de la Universidad Central y le incautan valiosos documentos que luego utilizaría el Comandante Che Guevara, para denunciar en la Conferencia de “Punta del Este” los planes yanquis contra Cuba socialista. También en 1964 en una acción internacionalista un comando de las FALN integrado por camaradas de la JCV toma la embajada yanqui y secuestran al agregado militar, coronel Smolen exigiendo como único rescate la liberación del revolucionario vietnamita Nguyen Van Troi.
Nuestros héroes y heroínas

La JCV regó su sangre por toda la patria de Bolívar, los nombres de nuestros camaradas caídos retumban por todos los rincones: Livia Gouverneur, Francisco Chico Velásquez, Toribio García, Isidro Espinoza, Héctor Rodríguez, Cesar Augusto Ríos, Oswaldo Orsini, Dora González, Lídice Álvarez, Nelson López, Orlando Medina y otros tantos valientes que no caben en estas páginas. Ni la represión ni la muerte de la época de la lucha armada lograron acabar con la Juventud Comunista.



Contra el revisionismo y fraccionamiento
En 1971 grupos revisionistas crean una tendencia fraccional que luego daría con la creación del MAS (hoy partido de la conspiración fascista). Esta división afectó duramente a la JCV, pero aún así la lucha continuó y para el 11 y 12 de febrero se realiza el III Congreso de la JCV; allí se exige la libertad de Ángela Davis, encarcelada en Estados Unidos por su lucha contra la discriminación racial, se crea el Comité Preparatorio del X Festival Mundial de la Juventud y los Estudiantes; el 12 de febrero de 1973 se crea la coordinadora nacional de juventudes políticas, que agrupa a todas las expresiones políticas del país.
IV y V Congresos de la JCV
El 3 y 4 de junio se celebra la III Conferencia Nacional. El 24 de septiembre de 1974 se realiza el IV Congreso de la Juventud Comunista, en donde se profundiza la solidaridad con el pueblo chileno después del golpe de Estado fascista de 1973.
En 1982, la JCV en el bicentenario del natalicio del Libertador Simón Bolívar desarrolla una campaña de rescate del pensamiento antiimperialista y revolucionario de Bolívar por todo el país, en un esfuerzo que culminara con la fundación del Movimiento Popular Bolivariano (MPB).
1981 se realiza el V Congreso, la JCV en los años 80 está presente en todas las luchas del pueblo venezolano, en sus reivindicaciones y anhelos, denunciando la corrupción de los gobiernos de AD y COPEI.
VI Congreso de la JCV
En 1990 se realiza el VI Congreso de la JCV, al calor de las jornadas populares del 27 de febrero de 1989 y la lucha antineoliberal.
Formación del Polo Patriótico y triunfo de Hugo Chávez
En 1998 la JCV está presente en todas las partes de país luchando por el voto por el comandante Chávez, es parte del Polo Patriótico Juvenil, logrando junto a todas las fuerzas populares y revolucionarias el triunfo electoral y el inicio de la actual etapa del proceso revolucionario que vive nuestro país.
La juventud centró sus esfuerzos en la recuperación orgánica y la profundización de su relación de masas con la juventud venezolana en el ámbito estudiantil, trabajadores y sector comunitario.
VIII y IX Congresos de la JCV
En abril-mayo de 2001, previo al XV Festival Mundial de la Juventud y los Estudiantes, se realiza el VIII Congreso, donde se constatan los avances orgánicos y políticos de la JCV al calor de las luchas de masas contra la conspiración de derecha.
En junio de 2003 la JCV realiza su IX Congreso, una de cuyas principales resoluciones es llevar a cabo todos los esfuerzos posibles como miembro pleno de la Federación Mundial de Juventudes Democráticas (FMJD) para realizar en Venezuela en agosto del 2005 el XVI Festival de la Juventud y los Estudiantes.
16º Festival Mundial de la Juventud y los Estudiantes
Del 7 al 15 de agosto de 2005, nuestro país fue la capital mundial de la alegría, con la celebración del 16º Festival Mundial de la Juventud y los Estudiantes, evento que reunió a más de 17 mil delegados de todo el planeta, uniendo sus voces para expresar en todos los idiomas el motivo que los trajera a la tierra bolivariana: ¡Por la Paz y la Solidaridad, luchamos CONTRA el IMPERIALISMO y la GUERRA!
A la JCV le correspondió presidir el Comité Nacional Preparatorio del 16º Festival, en el cual participaron 47 organizaciones juveniles de Venezuela, y presidir igualmente el Comité Organizador Internacional.
En Venezuela los jóvenes de 140 países, de diferentes filiaciones políticas, religiones y culturas debatieron sobre cuatro temas fundamentales:
1. Paz, guerra e imperialismo.
2. Educación, cultura, ciencia y tecnología.
3. Empleo, economía y desarrollo.
4. Democracia y derechos humanos.
En el acto inaugural, el Presidente Hugo Chávez, aseguró ante los delegados al foro estudiantil reunidos en el Patio de Honor de la Academia Militar del capitalino Fuerte Tiuna, que existe un rebrote y amanecer en el mundo, y ustedes, dijo, son parte de ese maravilloso renacer.
“Estoy profundamente convencido que si bien las décadas pasadas fueron muy exigentes, en la actualidad renace en el ser humano la idea de la paz, la igualdad y la lucha contra la explotación del hombre por el hombre”, afirmó.
“El mundo necesita, en primer lugar, una revolución ética, moral y espiritual que coloque como Alfa y Omega, como principio y fin, al humanismo revolucionario y social” dijo. “El planeta precisa, agregó, de una revolución política que impulse verdaderas democracias, cargadas de pueblo y no las falsas democracias de las elites que hablan a diario de ese concepto, mientras apuñalan los derechos del pueblo.”, señaló.
El Presidente Chávez felicitó al Comité Nacional Preparatorio venezolano por el nivel de organización y eficiencia alcanzado en la preparación de la versión 16º del Festival Mundial de la Juventud y los Estudiantes, “un verdadero reto para el país”, afirmó.
X Congreso Nacional de la JCV
Los días 15, 16 y 17 de septiembre del 2006, se llevó a cabo el X Congreso Nacional de la Juventud, realizado en el marco del 59º Aniversario de la JCV. Su acto de instalación se realizó el día 15 en las instalaciones del Parque Central y su debate en la zona de Valle del Tuy, Estado Miranda.
Decenas de organizaciones nacionales e internacionales estuvieron presentes en el evento máximo de la JCV, cuya discusión tuvo como base las Resoluciones del XII Congreso del Partido, llevado a efecto en julio del 2006 y que estableció la actualización de la línea política del Partido y que la Juventud implementó en el ámbito juvenil.
Durante el Congreso de la JCV se realizó la promoción de cuadros al Partido en todos los niveles de la organización, cumpliendo de esta manera con uno de los roles de la Juventud de ser “la cantera de formación y reserva de cuadros del Partido”, señaló el Congreso. Esta promoción llevó el nombre del recordado dirigente comunista Pedro Ortega Díaz, fallecido el 2 de febrero del 2006.
Las principales resoluciones del X Congreso Nacional de los jóvenes comunistas fue que la JCV debe dar un paso superior en la influencia de la organización en las masas juveniles, especialmente entre los estudiantes, trabajadores y jóvenes de los sectores comunitario, aportando a la elevación de la conciencia y organización de la juventud venezolana.
Destacando las tareas de la campaña presidencial hacia el triunfo del candidato de las fuerzas del cambio, Presidente Hugo Chávez Frías, resolvió trabajar por jugar un rol fundamental en el marco de la profundización del proceso revolucionario. “Los jóvenes no sólo somos el futuro, sino que el presente de los cambios que vive el país, por lo que nuestro rol es animar, activar a la gran mayoría de jóvenes que está por las transformaciones más profundas que requiere Venezuela hacia la construcción del Socialismo”, expresó el Congreso.
JCV propone la Constituyente de la Educación Popular para la nueva LOE
El 21 de junio del 2007, más de un centenar de jóvenes comunistas, representantes de los 24 estados del país, propusieron a la Asamblea Nacional la convocatoria a una Constituyente de la Educación Popular para realizar una discusión nacional de la nueva Ley Orgánica de Educación que se elaboraba en el poder legislativo. Un documento de 6 páginas fue entregado a la Presidenta de la Comisión de Educación de la AN, diputada María de Queipo, conteniendo los principales aportes que los jóvenes comunistas, en la cual destacaban impulsar una movilización de masas, a través de la Constituyente de la Educación Popular para la elaboración y discusión de la LOE.
Para la JCV el problema de la educación es un problema de todo el país y no sólo de especialistas. En un país que vive profundas trasformaciones políticas y sociales necesita construir un cuerpo legal que esté en consonancia con el proceso de cambios que vive Venezuela.
La JCV estuvo acompañada por representantes del Frente Mujer Joven, Frente Jóvenes Trabajadores, Frente Estudiantil Livia Gouverneur (FELG), Plancha 89 ULA, Plancha UDO, Movimiento 17 UC, Movimiento Estudiantil Ali Primera – Tecnológico de Carúpano, Grupo de Unidad Estudiantil Independiente-Tecnológico de Portuguesa, Movimiento Estudiantil José Félix Rivas, Unexpo, Colectivo Juvenil Los Carasucias-Miranda, Biblioteca Autogestionada Boris Zerpa UC, Plancha 5 Liceo Simón Bolívar de Carabobo, Frente Cultural Ali Primera-Carabobo, Movimiento Juvenil Antitaurino-ULA, Red Social Juvenil-Barinas, entre otros.
60° Aniversario de los Festivales Mundiales de la Juventud y los Estudiantes
Del 21 al 27 de agosto del 2007, en Caracas tuvo lugar la celebración del 60° aniversario del movimiento de los Festivales Mundiales de la Juventud y los Estudiantes, cuya primera edición se realizó en Praga en 1947, formando parte de la vanguardia antiimperialista desde finales de la Segunda Guerra Mundial. El comité organizador de la celebración agrupó al Instituto Nacional de la Juventud, la Comisión Presidencial para el Poder Estudiantil, el Voluntariado Nacional Ezequiel Zamora, la Juventud Comunista de Venezuela, el Instituto de la Juventud del Estado Miranda, el Frente Francisco de Miranda y otras organizaciones nacionales relacionadas con los movimientos juveniles y estudiantiles.
En una apretada agenda de seminarios, discusiones, foros y mesas redondas, se realizaron todas las noches actividades culturales con formato libre en la Plaza de los Museos, las cuales sirvieron de espacio para que la juventud de todas partes del mundo para expresarse libremente como expresión del mundo diverso que nos enriquece y atenta contra la visión unificadora que pretende llevar adelante el Imperio.
180 organizaciones de todo el mundo estuvieron presentes, en una semana donde se reafirmaron los principales retos de la juventud mundial y la lucha antiimperialista que es uno de los mayores problemas del mundo. El tema del establecimiento de bases militares en distintos países estuvo en el centro del debate, puesto que una de las decisiones de la FMJD durante el 16° Festival Mundial de la Juventud, en 2005, fue rechazar tal práctica, de la cual Cuba también es víctima.
Conferencia Nacional de la JCV
Con el desafío y compromiso de convertirse en la principal fuerza juvenil organizada del país, se realizó la Conferencia Nacional 2008 de la Juventud Comunista de Venezuela JCV, en la ciudad de Barquisimeto, Estado Lara, entre los días 7 al 10 de agosto del 2008.
Dentro de las actividades realizadas por la Conferencia, se desarrolló la Promoción Nacional de Cuadros “Alonso Ojeda Olaechea”, quien fuera Secretario General del PCV. La Promoción de más de 70 cuadros fue el momento cumbre de estos jóvenes comunistas pasando a formar parte de la militancia integral dentro del Partido Comunista de Venezuela.
XI Congreso Nacional de la JCV
Con el compromiso de convertirse en un sólido destacamento por el Poder Popular y el Socialismo, la JCV realizó, entre el 25 al 30 de agosto del 2009, su XI Congreso Nacional.
El XI Congreso Nacional de la Juventud Comunista de Venezuela (JCV), constituyó un hito referencial, no solamente para la joven militancia comunista, sino también para muchas personas en Venezuela y el mundo.
Durante varios meses de arduo trabajo, cientos de jóvenes cumplieron entusiastas las más diversas tareas para cumplir las metas trazadas. Ventas de bonos, rifas, CD, calcomanías y franelas sirvieron para la meta de autofinanciar el Congreso. Reuniones y Plenos Nacionales, de estudiantes, jóvenes de barrio y trabajadores, cientos de Asambleas y Conferencias, en los Colectivos, Locales y Regiones, sirvieron para preparar a los cientos de Delegados y recoger las propuestas en discusión.
Este nuevo Congreso resolvió avanzar en la lucha por los derechos de los jóvenes trabajadores y trabajadoras, denunciar los niveles de explotación que pesan sobre sus hombros al ser tercerizados, mal pagados o manipulados para que detengan sus estudios para poder trabajar; organizar un fuerte movimiento nacional de la juventud trabajadora consciente y movilizada por sus derechos y la construcción del Socialismo.
Asimismo, se resolvió profundizar la lucha por la transformación de la educación, reivindicando el llamado a la “Constituyente por la Educación Popular”, trabajar por una legislación revolucionaria en el área y un nuevo sistema educativo con la participación activa del Poder Popular.
Para ello se resolvió acelerar la marcha en la constitución de Consejos Estudiantiles en liceos, universidades y cualquier institución de enseñanza, los cuales junto a los Consejos de Trabajadores y Trabajadoras alcanzarán los objetivos de una educación liberadora y popular.
17º Festival Mundial de la Juventud y los Estudiantes
Desde finales del año 2009, la Juventud Comunista de Venezuela, miembro activo de la Federación Mundial de Juventudes Democráticas (FMJD), decide asumir el reto de promover la nueva edición del movimiento de los Festivales, con sede en Sudáfrica en diciembre de 2010, con diversas actividades en nuestro país.
Para ello, conforma un espacio de amplitud revolucionaria con las fuerzas hermanas venezolanas, movimientos políticos, estudiantiles, campesinos, laborales, cultores, entre otros, y se crea el Comité Nacional Preparatorio (CNP) del 17FMJE.
Una intensa agenda de trabajo, nacional e internacional, ha desarrollado el CNP-Venezuela para impulsar la concientización, movilización y lucha de los jóvenes venezolanos por sus derechos y la construcción de un mundo mejor.
Campañas de solidaridad con las luchas de los jóvenes de pueblos hermanos, campañas a favor del medio ambiente, por los derechos de los jóvenes trabajadores, contra el imperialismo y a favor de la revolución bolivariana, se han desarrollado con la participación de los Comités Regionales Preparatorios, creados en cada estado del país.
Hoy, en un nuevo aniversario de la Juventud Comunista de Venezuela, reafirmamos el compromiso de este destacamento revolucionario y popular con las luchas del pueblo venezolano, con el proceso de liberación que el Poder Popular ha decidido darse contra el imperialismo y por la construcción del Socialismo.
Junto al Glorioso Partido Comunista de Venezuela nos mantenemos firmes en defender cada uno de los espacios arrebatados a la burguesía, y daremos la vida en alcanzar la plena liberación de la juventud trabajadora del país.

jueves, 30 de diciembre de 2010

LA UNIÓN SOVIÉTICA::PRIMER ESTADO DIRIGIDO POR LOS TRABAJADORES SE FUNDÓ UN 30 DE DICIEMBRE, EL DEL AÑO 1.932

30 de diciembre de 1922: nace la Unión Soviética

La URSS, estado cosntruído por los trabajadores soviéticos en base al control obrero de los medios de producción económica y cultural y al principio de la autodeterminación de los pueblos y la convivencia multietnica.


El 30 de diciembre de 1922, se fundó la Unión de Repúblicas Socialistas Soviéticas, el primer intento científico de la Humanidad en avanzar hacia la civilización socialista y de lograr una verdadera democracia, en la que la mayoria, los trabajadores, dominaran a la minoria capitalista y no a la inversa.

Bajo la premisa “todo el poder a los soviets”, el proletariado ruso logró derrotar a la monarquía criminal del zar en 1917 y conformar el primer Estado en la historia de la Humanidad edificado bajo el concepto de una nueva sociedad sin explotadores.

Su éxito sigue poniendo de los nervios a los saqueadores y parásitos de la burguesia local y multinacional, y 88 años despues continuan intentando borrar de la historia, o como poco deslegitimar, la existencia de una Unión de Repúblicas que fue creada con el objetivo de entregar el poder a los trabajadores y campesinos.

Aunque sin duda existieron lideres que fueron la cabeza mas conocido del movimiento, como Vladimir I. Lenin o Iosif Stalin, generalmente se pretende ocultar que fueron el pueblo ruso, el proletariado, el campesinado y el ejército los principales constructores de un modelo de Estado muy diferente al modelo capitalista y explotador, y el que el gobierno partia de los soviets y tenia como principal finalidad el bienestar integral (no solo material) de la mayoria, y no solo de las elites, como era tradicional hasta entonces y hoy sigue siendolo en la mayor parte del mundo.

Soviet es una palabra rusa que significa consejo o junta, y alrededor de la cual se articulo la nueva democracia soviética, es decir, aquella en la que las decisiones las tomaban los ciudadanos desde abajo, desde los consejos de fabrica, escolares, de barrio, campesinos o del ejercito.

¡ Viva la revolución de soldados, obreros y campesinos!, exclamó Lenin en 1917, cuando el 25 de octubre de ese año, se instaló el histórico segundo congreso de los soviets de toda Rusia que proclamó en nombre de la clase obrera y de pueblo trabajador el triunfo de la revolución al tiempo que organizó el primer gobierno soviético. Cinco años después del triunfo de la Revolución de Octubre se constituyó la Unión Soviética.

La URSS surgió como una unión de cuatro repúblicas socialistas soviéticas, en los límites de del territorio de lo que fue el Imperio Ruso abolido por la Revolución de 1917, y llego a albergar en 1956 a 15 "repúblicas de la unión" :República Socialista Soviética (RSS) de Armenia, RSS de Azerbaiyán, RSS de Bielorrusia, RSS de Estonia, RSS de Georgia, RSS de Kazajstán, RSS de Kirguistán, RSS de Letonia, RSS de Lituania, RSS de Moldavia, RSFS de Rusia, RSS de Tayikistán, RSS de Turkmenistán, RSS de Ucrania y la RSS de Uzbekistán.

Lamentablemente hoy la mayoria de las exrepublicas sovieticas, y la propia rusa, han vuelto a caer en manos de los criminales capitalistas, que se han encargado de destruir todos los logros sociales e industriales logrados por el pueblo trabajador de la URSS.




Y sin bastarle con eso, continuan emulando al maestro de la propaganda capitalista Goebbles, y manipulando y mintiendo sobre la historia de la primera potencia mundial militar y cultural durante decenios para intentar que los productores del mundo olviden que fueron los trabajadores mismos los que la construyeron y que, al contrario de lo que intentan hacernos creer, la elite capitalista es totalmente innecesaria, mas bien un obstaculo, para la democracia.

La URSS salvo mas adelante a la humanidad del triunfo del fascismo en la Segunda Guerra Mundial, y provoco que con su influencia durante la Guerra Fria que los trabajadores bajo la dictadura capitalista vivieran momentos de bienestar al verse obligadas las elites a otorgarles derechos salariales y laborales. Tras el final de la URSS la necesidad de mantener el bienestar de los trabajadores desaparecio, por lo que la campaña para reducirlos es cada dia mas cruda y salvaje.

Quizas hoy mas que nunca antes es evidente la importancia de la URSS para los trabajadores del mundo, y quizás por ello los nerviosos capitalistas, que siguen temiéndo perder de nuevo el poder a manos de los ciudadanos que producen, no hacen mas que aumentar la campaña de desprestigio y sus mentiras contra la gloriosa historia de los pueblos sovieticos.




Fuente: Un Vallekano en Rumania/PrensaPopularSolidaria





LECTURAS

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ORGANIZACIÓN COMUNISTAS MIRANDA CENTRO INVITA A MILITANCIA Y AMIGOS A LOS ACTOS DEL 80 ANIVERSARIO

ORGANIZACIÓN COMUNISTAS MIRANDA CENTRO INVITA A MILITANCIA Y AMIGOS A LOS ACTOS DEL 80 ANIVERSARIO
La Organización Intermunicipal Miranda Centro del Partido Comunista de Venezuela invita a nuestra militancia, afiliados, amigos y simpatizantes a los Actos de Celebración del 80 Aniversario de nuestro Glorioso Partido Comunista de Venezuela, a realizarse según datos ubicados en la Gráfica. Los esperamos para nuestra celebración, con espíritu y combatividad comunista, revolucionario y patriótico!!! Asiste!!

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REDECCOMI (Red de Comunicación Comunista Mirandina)_Miranda Centro

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